Intéressant ce petit texte trouvé sur le site de l'audioblog Locus St. qui retrace admirablement la place fluctuante - "yo-yoing" - du saxophone dans la musique pop:
"(...) consider the yo-yoing prominence of the saxophone in modern pop music - from rivaling the electric guitar as the essential ingredient of '50s rock and roll, to its banishment in the Beatles-soaked years (while hanging on in soul and funk), to its slight return as a cheap signifier of 'mood' or 'class' in the '70s (think 'Baker Street', or 'Year of the Cat', or Phil Woods on those interminable Billy Joel songs), to its brief, gaudy resurgence in the '80s, with the likes of Springsteen and Glen Frey hauling the sax solo back into the top 40 and Rob Lowe playing a sax-wielding stud in St. Elmo's Fire. And then suddenly, around the time the Berlin Wall fell, the saxophone essentially vanishes from pop and rock, never to return?, existing only as a ghost in samples."
(C'est dans le post du 5 janvier. En prime, vous pourrez télécharger le titre Picasso joué en solo pPar Coleman Hawkins. Mais dépêchez-vous.)
Heureusement rien de tout ça dans le jazz où le saxophone, dérivé de la clarinette inventé en 1841 par Adophe Sax, demeure l'instrument roi. Chaque saxophoniste de jazz a un son carastéristique - fièvreux, paresseux, mélancolique, rageur, âpre, éthéré - qui le définit et le singularise. Dans un quartet de jazz, le saxophone est la voix des anges mêlée à celle des démons.
mardi 11 janvier 2005
Yo-yoing Saxophone
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